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Mes hôpitaux (grands caractères)

Collection Grandes Lettres

Bod
Erschienen am 01.12.2015
CHF 19,90
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Bibliografische Daten
ISBN/EAN: 9782335060911
Sprache: Französisch
Umfang: 64
Auflage: 1. Auflage

Beschreibung

Mes hôpitaux est un recueil de poèmes écrit par le célèbre poète français Paul Verlaine. Publié pour la première fois en 1891, cet ouvrage est une véritable plongée dans l'univers des hôpitaux, où l'auteur a séjourné à plusieurs reprises. À travers ces poèmes, Verlaine nous livre des instantanés de vie, des fragments d'émotions et des réflexions profondes sur la condition humaine. Il explore avec sensibilité et finesse les différentes facettes de l'hôpital, tantôt lieu de souffrance et de solitude, tantôt lieu de guérison et d'espoir. L'auteur nous transporte dans ces lieux empreints de douleur et de fragilité, où les patients se confrontent à leur propre vulnérabilité. Il dépeint avec une grande justesse les rencontres, les échanges et les moments de partage qui se nouent entre les malades, les médecins et le personnel soignant. À travers sa plume poétique, Verlaine nous offre une vision intime et poignante de l'hôpital, où la beauté se mêle à la tristesse, où la vie côtoie la mort. Ses vers, empreints de mélancolie et de lyrisme, nous invitent à réfléchir sur la condition humaine et sur la fragilité de notre existence. Mes hôpitaux est un recueil de poèmes qui ne laisse pas indifférent. Il nous plonge au cur de l'expérience hospitalière, nous faisant ressentir toute la complexité des émotions qui s'y entremêlent. Verlaine, avec sa sensibilité et sa finesse d'écriture, nous offre un regard unique sur ces lieux de soin et de souffrance, nous invitant à méditer sur la fragilité de la vie et sur la nécessité de l'empathie et de la compassion. Impression en ' gros caractères '. Extrait: "Au moins ce ne fut pas la faute de la littérature, qui l'aurait comblé d'or et d'honneur, mais bien un peu la sienne propre et celle d'autrui, n'est-ce pas, chère madame? - s'il s'était trouvé à l'hôpital. Sans plus insister sur ce point, aussi bien insignifiant, ce n'est pas moi qui parlerai, c'est lui qui parlera, et ce, plutôt impersonnellement, selon son tempérament particulier de poète comme ça."